Mon bel oranger
José Mauro de Vasconcelos
Zézé est un garnement. Il joue des tours à tous ceux qui l'entoure. Pour ne plus qu'il recommence, on le bat et on le traite de diable. Mais Zézé a ses amis, pas ceux que l'on rencontre tous les jours. Parmi eux, un oranger, avec qui il discute.
En lisant le début de ce livre, je me suis dit: "Ce livre vaut deux étoiles". A l'arrivée du Portuga, je me suis dit: "Non, il en vaut trois" et à la fin du livre: "Ça, ça vaut bien quatre étoiles!" C'est ainsi que Mon bel oranger a terminé dans mes très bonnes lectures.
On m'avait dit tant de bien de cette autobiographie que j'avais forcément beaucoup d'attentes concernant le début, qui n'ont pas toutes étés satisfaites. il est vrai que je ne m'attendais pas vraiment à ça. Une autobiographie, pour moi, c'est le récit pompeux de quelqu'un qui se croit intéressant au point de publier sa vie. Mais Mon bel oranger m'a fait changer d'avis. L'auteur ne raconte pas sa vie du genre: "Oui donc je suis né en l'an 1940 un jour gris, ect." Ici, tout est dans le rêve, dans la poésie, tout est imagé. Ce qui m'a un peu gêné, ce sont les nombreux noms Brésiliens et Portugais, par exemple: "Godoia" ou "Xururuca" ou je ne sais plus exactement. Je n'ai toujours pas compris qui était Antonio, je crois que c'est la même personne que Totoca, quelqu'un pourra t-il me donner confirmation? Enfin bref, ces surnoms portent très souvent à confusion.
Sinon, la fin était très belle. Je n'ai pas pleuré, mais je crois que les plus sensibles le feront!! Mon bel oranger est une histoire d'amitié très originale, qui est parfois un peu trop longue ou trop confuse, mais très bien écrite et très tendre.
Trop jeunesse pour moi ^^
RépondreSupprimerBisous!